Le projet a été lancé le 21 Juin 2017, dans les locaux de l’ESIGELEC, à Saint-Etienne-du-Rouvray en France. Il s’agissait de la première réunion du consortium depuis l’approbation du projet le 2 Février 2017. Lors de cette journée, Moncef KADI, responsable du pôle de recherche Electronique de l’IRSEEM, a donné la note d’introduction en présentant les expertises et l’historique des collaborations de l’équipe sur les programmes internationaux en général, et sur le programme INTERREG en particulier. Puis, chaque partenaire a développé sa contribution pour le projet. - L’ESIGELEC a détaillé les objectifs généraux, ainsi que les enjeux techniques du projet, tout particulièrement au niveau de l’antenne redresseuse dite « rectenna ». - GST a présenté quelques spécifications du projet, notamment au niveau de son utilisation finale en terme de gestion énergétique, ainsi que de stockage de l’énergie. De potentiels scénarios d’utilisation ont aussi été analysés. - L’Université du Kent a mis en avant différentes contraintes de conception au niveau notamment de la taille, du nombre de cellules, du diagramme de retrodiffusion/redirection, etc., par rapport aux bandes de fréquences considérées, ici ISM/GSM/Wi-Fi. - L’Université de Surrey et Intrinsiq Materials ont tout deux présenté leurs moyens de fabrication respectifs utiles pour le projet.
La réunion de formation qui a eu lieu le 20 Juin 2017, précédent la réunion de lancement du projet, a été menée par Sophie JARDIN, Chargée de mission Finance et Evaluation du programme INTERREG, à Norwich en Angleterre. La réunion s’est également tenue dans les locaux de l’ESIGELEC, et a porté sur la présentation des différentes règles de gestion administrative et financière (achats, dépenses, contrôle, etc.), de communication (logo, site internet, templates, etc.), et de gestion des risques, etc.
La deuxième assemblée générale s’est tenue les 9 et 10 Octobre 2017 à Farnborough en Angleterre, organisée par Intrinsiq Materials Ltd. La troisième réunion quant à elle a eu lieu les 15 et 16 Janvier 2018, à Guildford, en Angleterre et était organisée par l’Université de Surrey. En première partie de ces deux réunions, les aspects financiers et administratifs ont été abordés ainsi que les enjeux de communication. Puis, il y a eu une session de discussion ouverte avec Sophie JARDIN (Chargée de mission Finance et Evaluation chez INTERREG, Norwich en Angleterre) qui a pu répondre à de nombreuses questions à ces sujets. De nombreuses présentations ont été données en seconde partie de ces réunions. Par exemple, - GST a analysé quelques caractéristiques (densité de puissance de sortie, taille, etc.) de plusieurs transducteurs (solaires, vibrations, thermiques, etc.) opérant avec les énergies renouvelables comparés aux transducteurs RF. - L’ESIGELEC a présenté un état de l’art des surfaces à hautes impédances suivi de concepts de design initiaux en bandes ISM basses (868MHz/2.4GHz). - GST et l’ESIGELEC ont conjointement présenté une première approche de caractérisation des densités de puissance RF en environnement indoor (intérieur). - L’Université du Kent a présenté les premiers résultats de simulations d’une surface multicouche (trois) opérant dans la bande Wi-Fi aux alentours de 5.8 GHz. Kent a également présenté une approche de caractérisation expérimentale de quelques prototypes de test fabriqués par l’Université de Surrey et Intrinsiq Materials. - Des échanges techniques ont eu lieu entre l’Université de Surrey et Intrinsiq Materials afin de définir les paramètres appropriés dans le processus de fabrication (encre, pâte, technologie d’impression, solvants, etc.). Des échantillons de tests ont d’ores et déjà été envoyé à l’Université du Kent pour caractérisation. - Intrinsiq Materials a fabriqué la première antenne prototype conçue par l’ESIGELEC/GST. - L’université de Surrey a démarré la mise au point d’un supercondensateur coplanaire unicouche basé sur des topologies interdigitales. Il démarre aussi une étude sur la stabilité et le vieillissement à long terme des prototypes envisagés, d’abord sur des structures de base (ligne de transmission). - Les premières études de faisabilité ont été débattues autour de plusieurs applications. - Deux ont été confirmées comme applications d’intérêt pour le projet (détecteur de fumée et répéteur Wi-Fi). - Les capteurs domotiques sont considérés comme étant dans le domaine d’application du projet, donc éligibles à une étude de marché après définition précise des objets ciblés. - Trois autres applications ont encore besoin d’être débattues lors de la prochaine assemblée générale afin qu’elles puisses être déclarées éligibles ou non.
La deuxième assemblée générale s’est tenue les 9 et 10 Octobre 2017 à Farnborough en Angleterre, organisée par Intrinsiq Materials Ltd. La troisième réunion quant à elle a eu lieu les 15 et 16 Janvier 2018, à Guildford, en Angleterre et était organisée par l’Université de Surrey. En première partie de ces deux réunions, les aspects financiers et administratifs ont été abordés ainsi que les enjeux de communication. Puis, il y a eu une session de discussion ouverte avec Sophie JARDIN (Chargée de mission Finance et Evaluation chez INTERREG, Norwich en Angleterre) qui a pu répondre à de nombreuses questions à ces sujets. De nombreuses présentations ont été données en seconde partie de ces réunions. Par exemple, - GST a analysé quelques caractéristiques (densité de puissance de sortie, taille, etc.) de plusieurs transducteurs (solaires, vibrations, thermiques, etc.) opérant avec les énergies renouvelables comparés aux transducteurs RF. - L’ESIGELEC a présenté un état de l’art des surfaces à hautes impédances suivi de concepts de design initiaux en bandes ISM basses (868MHz/2.4GHz). - GST et l’ESIGELEC ont conjointement présenté une première approche de caractérisation des densités de puissance RF en environnement indoor (intérieur). - L’Université du Kent a présenté les premiers résultats de simulations d’une surface multicouche (trois) opérant dans la bande Wi-Fi aux alentours de 5.8 GHz. Kent a également présenté une approche de caractérisation expérimentale de quelques prototypes de test fabriqués par l’Université de Surrey et Intrinsiq Materials. - Des échanges techniques ont eu lieu entre l’Université de Surrey et Intrinsiq Materials afin de définir les paramètres appropriés dans le processus de fabrication (encre, pâte, technologie d’impression, solvants, etc.). Des échantillons de tests ont d’ores et déjà été envoyé à l’Université du Kent pour caractérisation. - Intrinsiq Materials a fabriqué la première antenne prototype conçue par l’ESIGELEC/GST. - L’université de Surrey a démarré la mise au point d’un supercondensateur coplanaire unicouche basé sur des topologies interdigitales. Il démarre aussi une étude sur la stabilité et le vieillissement à long terme des prototypes envisagés, d’abord sur des structures de base (ligne de transmission). - Les premières études de faisabilité ont été débattues autour de plusieurs applications. - Deux ont été confirmées comme applications d’intérêt pour le projet (détecteur de fumée et répéteur Wi-Fi). - Les capteurs domotiques sont considérés comme étant dans le domaine d’application du projet, donc éligibles à une étude de marché après définition précise des objets ciblés. - Trois autres applications ont encore besoin d’être débattues lors de la prochaine assemblée générale afin qu’elles puisses être déclarées éligibles ou non.
Sur deux jours, l’ensemble de l’équipe se réunira pour discuter des avancées du projet à Bourguébus en France, en Normandie, dans les locaux de GST. La première journée est dédiée, dans cet ordre, aux aspects administratif et financier, à la communication, et au module travail T3 consacré à la dissémination, valorisation des résultats et communication vers les entreprises de la zone FMA. Dans la 3e partie de la cette première journée, un accent particulier sera mis sur la stratégie de communication vers la PME de la zone FMA en vue de la préparation du premier workshop du projet. La seconde journée est entièrement au volet technique du projet. C’est le lieu de présentation des avancées des différentes équipes du projet en termes de simulations, fabrication et tests de prototypes. Cela s’accompagne souvent de questions et réponses aidant à mieux comprendre le travail réalisé. Ce rendez-vous trimestriel, regroupant l’ensemble des acteurs du projet, permet de visualiser le travail effectué par chacune des équipes, et de favoriser les discussions et le partage d’idées et de compétences. C’est aussi un lieu favorisant l’entente et la cohésion du consortium.
à l'Université du Kent, Canterbury, Royaume-Unis. Et, la 6e assemblée générale s’est tenue les 24 et 25 janvier 2019 à Guildford, Surrey, Royaume-Unis, organisée par l'Université de Surrey. La première partie de ces réunions fut consacrée aux aspects administratifs et financiers ainsi qu'aux questions de communication. La deuxième partie fut dédiée à l’avancement technique du projet marqué par diverses présentations. Par exemple, o L'ESIGELEC a présenté une étude théorique de conception d'une surface réfléchissante, validée par des simulations. (image 7.1) o GST a présenté quelques applications supplémentaires pour la domotique, analysées en termes de cycle de service, de consommation, etc. o L'Université du Kent a montré plusieurs travaux de conception d'une surface réfléchissante à 10 GHz capable de rediriger les ondes EM incidentes vers une direction de prédilection. (image 7.2) o L'Université de Surrey a présenté les résultats comparatifs des tests de fabrication de quelques circuits réalisés sur PET et Kapton. (image 7.3) o Le consortium a échangé sur l’organisation du 1er workshop à venir à Rouen.
Et, la 8e assemblée générale a eu lieu du 25 au 26 septembre 2019 à Guildford, Surrey, Royaume-Unis, accueillie par l'Université de Surrey. La première partie de ces réunions fut consacrée aux questions techniques marquées par diverses présentations. Par exemple, o L'Université de Surrey a présenté l'antenne à fente (notch) fabriquée sur substrat flexible transparent à 2,4 GHz. Cette antenne fut ensuite intégré dans un démonstrateur visant à faire clignoter un ensemble de LED en fonction du niveau d'énergie électromagnétique collectée (image 8.1) et (image 8.2) o L'Université du Kent a présenté les résultats de l'analyse des effets de la taille de la surface en accordéon sur l'amélioration du bilan de liaison d'une communication Wi-Fi. (image 8.3) et (image 8.4) o L'ESIGELEC a montré des résultats expérimentaux sur le comportement du canal de propagation indoor en tant que canal de type gaussien ainsi que l'amélioration par la surface du bilan de liaison en puissance entre deux antennes (image 8.5) et (image 8.6) La 2e partie de ces réunions fut consacrée aux aspects administratifs et financiers ainsi qu'aux questions de communication et budgétaires. Le consortium a échangé sur l’organisation du 2e workshop à venir au Royaume-Unis.
La première partie de cette réunion fut consacrée aux aspects administratifs et financiers ainsi qu'aux questions de communication et budgétaires. La deuxième partie de cette réunion fut dédiée à l’avancement technique marqué par diverses présentations. Par exemple, o L'Université de Surrey a présenté les résultats de la mesure de conductivité de )lusieurs échantillons de circuits fabriqués à base de nanoparticules. (image 9.1) o L'Université du Kent a présenté les tests expérimentaux sur l'amélioration du signal Wi-Fi avec la surface en accordéon (image 9.2) o L'ESIGELEC a présenté plusieurs résultats de conception d'antennes multibandes basées sur la fente ainsi que les résultats de tests expérimentaux visant à mesurer les densités de puissance ambiantes sur les bandes GSM / IMT / Wi-Fi (image 9.3) et (image 9.4) o Le consortium a échangé sur l’organisation du 2e workshop à venir.
La première partie de cette réunion fut consacrée aux aspects administratifs et financiers ainsi qu'aux questions de communication et budgétaires. La deuxième partie fut dédiée à l’avancement technique marqué par diverses présentations. Par exemple, o L'Université de Surrey a présenté les détails de fabrication de la rectenna conçue par l'ESIGELEC et les résultats de caractérisation de plusieurs lignes imprimées microrubans. (image 10.1) et (image 10.2) o L'Université du Kent a montré les résultats de simulations et de tests expérimentaux portant sur l'amélioration du signal Wi-Fi avec la surface en accordéon. (image 10.3) o L’ESIGELEC a présenté - Les résultats de la mesure de la densité de puissance en environnement réel ambiant. (image 10.4) - Les résultats de simulation et de mesure de deux nouvelles géométries d’antennes à fente à double polarisation. (image 10.5) - Un système complet de récupération d'énergie RF. (image 10.6) - Les résultats de tests expérimentaux sur l'amélioration du signal Wi-Fi. (image10.7)
La première partie de cette réunion fut consacrée aux aspects administratifs et financiers ainsi qu'aux questions de communication et budgétaires. La deuxième partie fut dédiée à l’avancement technique marqué par diverses présentations. Par exemple, o L'Université de Surrey a présenté de nouveau résultats sur la caractérisation des matériaux de fabrication (conductivité, constante diélectrique, etc.) à partir des structures imprimées de type lignes microrubans. (image 11.1) et (image 11.2 o L’ESIGELEC a présenté - La conception finale de l'antenne à fente et les résultats de mesure. (image 11.3) - Le prototype final du système de récupération d'énergie. (image 11.4)
Quelques réalisations du projet sont consultables en vidéo dans la rubrique « résultats » du site. Pour plus d’informations, veuillez contacter le coordinateur de projet M. Constant NIAMIEN à niamien@esigelec.fr ou le service communication de l’ESIGELEC à communication@esigelec.fr